Les conseillers nationaux ont adopté un texte de loi sur la recherche scientifique et de l’innovation ce vendredi à l’hémicycle. Tous contents du contenu du cadre juridique, il sera le produit pour le développement durable selon le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation.
Selon les honorables conseillers, la question de la recherche scientifique est capitale. Jadis, elle était en avance sous le régime de feu Ahmed Sékou Touré. Elle doit être disent-ils relancée.
Ils sollicitent un appel à l’expertise de la diaspora pour un accès à la science par tous. Le débat a été fructueux et le ministre de l’enseignement supérieur de la recherche scientifique et de l’innovation a salué l’interactivité des conseillers.
« Au niveau de la cité des sciences et de l’innovation, il y a eu de la place pour les centres de recherche. Sur les 12 ; 5 retrouvent un cadre de production idéal. Ils vont sortir des quartiers où ils paient des loyers. Ils auront de l’électricité, et ils auront également accès à 4200 m2 de bureaux, des réseaux internationaux de chercheurs et de 16 laboratoires. »
Il rajoute qu’ : « Il y a le renforcement et l’amélioration des études avancées : le master et le doctorat. Nos enfants s’arrêtaient en licence peu avaient la possibilité d’accéder aux programmes de master. Nous sommes passés d’une trentaine de programmes de master à près d’une centaine. Nous avons libéré cette année plus de 684 places de masters dans les institutions d’enseignements publics. Les masters, leurs couts sont passés de 30 millions à 15 millions. Nous sommes en train de travailler pour les faire baisser afin que tous les Guinéens puissent avoir accès d’un enseignement supérieur de plus en plus élevé. »
Dr Dansa Kourouma souligne que plus on accorde de l’importance à la recherche scientifique plus la mobilisation de son budget devient aisée. C’est l’une des plus importantes lois qui vient d’être adoptée. L’enseignement général et particulier bénéficieront d’un soutien a-t-il conclu.
Djibril Bah